• SAUVER OU PÉRIR




     

     

     

    Évolution des interventions ces 20 dernières années






    Près de 45 144 interventions ont été effectuées en 2013 par les sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine, soit une moyenne de 124 interventions par jour (+3,88 % par rapport à 2012).






    645 sapeurs-pompiers professionnels
    2 951 sapeurs-pompiers volontaires
    (Les sapeurs-pompiers volontaires constituent  82 % des effectifs.)






    Temps forts

     

    2013-2014 : Lancement des Etats généraux du SDIS qui doivent permettre d'instituer une large concertation avec les personnels sur les sujets fondamentaux qui touchent l'organisation de l'établissement : la distribution des secours, la mixité (sapeurs-pompiers professionnels ou volontaires), la permanence opérationnelle et la santé/qualité de vie au service.

    2012 : Mise en place d'une nouvelle organisation territoriale au 1er avril 2012. 4 groupements territoriaux sont créés au centre, à l'est, au nord et au sud-ouest.

     

    2011 : Adoption d'un nouveau règlement opérationnel, approuvé par la préfecture le 8 juillet (voir arrêté préfectoral).
    (Retrouvez l'intégralité du document et les guides de gestion sur la page "documents de référence".)

     

    2010 : Adoption du Schéma Départemental d'Analyse et de Couverture des Risques (SDACR), qui définit les orientations de couverture des risques sur le département d'Ille-et-Vilaine pour les cinq ans à venir.

     

    2009 : Adoption du projet stratégique pour l'établissement, structuré autour de 4 axes et 16 objectifs. Il fixe ainsi le cap à suivre pour le SDIS jusqu'en 2014.

     

    2007 : Construction de l’école départementale des sapeurs-pompiers d’Ille et Vilaine.

     

    Mai 2006 : Construction d’un CTA-CODIS  unique qui permet la centralisation des appels d’urgence en un point unique sur le département.

     

    Janvier 2006 : Mise en place d’une nouvelle organisation territoriale qui vient achever le processus de départementalisation, Création des groupements territoriaux et des compagnies

    Janvier 2000 : Mise en place effective du SDIS. Création du corps départemental. Reprise des personnels volontaires, administratifs et techniques, et transfert de gestion des Centres d’Incendie et de Secours.Vaste politique de construction et de rénovation de casernements.

     

    1996 : Lois du 3 mai 1996 relatives à l’organisation des Services d’Incendie et de Secours et au volontariat. Ces lois marquent un véritable tournant car elle impose une gestion unique par le SDIS.

     

    Avant 1996 : Jusqu'en 1996, la gestion des Centres d'Incendie et de Secours dans le département est essentiellement de niveau communal ou intercommunal.

     

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  • Coiffeur:

     

    Description :

    Le coiffeur homme ou femme d'élégance, de goût et de mode, doit avoir de l'imagination, le sens des formes, des couleurs et de l'harmonie. Visagiste à l'œil exercé, il peut donc conseiller dans le choix d'un style de coiffure, voire un traitement capillaire. La coiffure est un métier où l’on est le plus souvent debout les bras en demi-tension. On piétine en permanence. C’est physiquement difficile, d’autant que les pauses sont liées à l’arrivée ou non du client. Outre le contact facile, le métier exige de faire preuve de patience et de calme vis-à-vis de la clientèle pour la satisfaire et la fidéliser. Attention aussi aux éventuelles allergies dues aux produits capillaires et à l’atmosphère chaude et humide. Avant de commencer une formation, il est conseillé aux jeunes, d’effectuer des tests d’allergologie. Le coiffeur travaille comme salarié dans un salon de coiffure ou à son compte. C’est également un commerçant qui vend des produits capillaires. A son compte comme artisan, il doit s'occuper des commandes, de la comptabilité et de la gestion du personnel s’il emploie des collaborateurs.

    Les formations :

    CAP coiffure en 2 ans après la classe de 3e dans un lycée professionnel ou dans un établissement privé, - MC (mention complémentaire) coloriste permanentiste, 1 an après CAP, - MC styliste visagiste, 1 an après CAP, - BP (brevet professionnel) coloriste permanentiste et le BP styliste visagiste se préparent en un an après le CAP, en formation continue ou en apprentissage, - Bac pro perruquier-posticheur : fabrication et pose de perruques en cheveux naturels ou synthétiques. Permet de travailler pour le cinéma ou le théâtre, - BM (brevet de maîtrise) : permet d’assurer la gestion d’un salon de coiffure, d’enseigner aux apprentis et d’obtenir plus facilement des prêts auprès des banques. Le BM est délivré par les chambres de métiers. Il se prépare en 2 ans. Conditions d’accès : il faut avoir au moins 19 ans et être titulaire du BP ou justifier de 5 ans d’activité professionnelle.

    L’évolution professionnelle
    salarié / salariée
    artisan 

    Dans un salon de coiffure, il existe plusieurs niveaux de qualification : shampouineur, assistant coiffeur, coiffeur pour dames, coiffeur mixte, coloriste,  permanentiste. Il  peut également proposer un service de manucure. Enfin, la spécialisation de barbier revient à la mode.Le coiffeur expérimenté peut se spécialiser dans le milieu artistique comme perruquier-posticheur (avec le bac pro), comme coiffeur studio (cinéma et télévision), comme coiffeur formateur (avec le BM).Le coiffeur peut se mettre à son compte (avec le BP).L'esthétique, la cosmétique, le bien-être, la remise en forme, le thermalisme et la thassothérapie sont également des pistes d'évolution. 

     

    Le salaire
    Un débutant gagne le Smic (1 445 € brut mensuel). Les employés peuvent aussi toucher un intéressement au chiffre d’affaires.
    Apres de l’expérience professionnelle le salaire mensuel brut peut s’élever à 1 600 €. Les pourboires sont fréquents dans ce métier. 

    Environ dans une fourchette de  1 118 € à 2 300 €

    Les principaux débouchés

    les salons de coiffure indépendants ou franchisés
    la coiffure à domicile
     

     

    Le salaire
    Un débutant gagne le Smic (1 445 € brut mensuel). Les employés peuvent aussi toucher un intéressement au chiffre d’affaires.
    Apres de l’expérience professionnelle le salaire mensuel brut peut s’élever à 1 600 €. Les pourboires sont fréquents dans ce métier. 

    Environ dans une fourchette de  1 118 € à 2 300 €

    Les principaux débouchés

    les salons de coiffure indépendants ou franchisés
    la coiffure à domicile
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  • peintre en batiment Pauline Brillant

    peintre en bâtiment

    Les formations :

    - CAP peintre applicateur de revêtement
    - BP peinture revêtements
    - MC (mention complémentaire de ce BP), peinture décoration
    - Bac pro aménagement-finition du bâtiment dominante peinture, vitrerie, revêtement ou dominante plâtrerie peinture.

    Le salaire :

    Un ouvrier débutant perçoit un salaire aux environ du SMIC (1 145€ brut mensuelle) selon les régions. Un chef d’équipe peut toucher jusqu'à 1 700€

    Description :

    A l’intérieur ou à l’extérieur d’un bâtiment, d’une maison, d’un lieu public, de bureaux ou d’espaces industriels ou commerciaux, le travail d’un peintre en bâtiment consiste à recouvrir les murs et les plafonds de revêtements, de façon à les protéger et à les décorer selon la demande.

    Techniquement, il doit mettre en place son chantier. Il prépare alors les surfaces, passe de l’enduit, lessive, décape, ponce. A lui ensuite de choisir et d’obtenir les coloris précis demandés par le client ou recommandés par le chef de chantier. Il passe alors la peinture en plusieurs couches au rouleau sur les grandes surfaces et réalise les finitions au pinceau.

    Selon la taille de l’entreprise qui l’emploie, le peintre peut aussi être polyvalent. Pose de papiers peints, installations de menuiseries intérieures ou extérieures pour l’isolation, découpe et pose de vitrages… Il maîtrise donc plusieurs techniques d’application selon les matériaux.

    Souvent perché sur une échelle ou un échafaudage, le peintre en bâtiment travaille sur un chantier en plein air ou à l’intérieur fréquemment dans une position inconfortable. Il travaille seul ou en équipe selon l’importance des travaux et les délais demandés. Il doit respecter des consignes de sécurité.

    pour plus information:  peintre dans le bâtiment  

     

    Pauline brillant

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  •         L'auxiliaire de puériculture s’occupe d’enfants bien portants ou malades. Elle peut exercer en centre d’accueil permanent, aux consultations d’une PMI, en crèche, au domicile de l’enfant, en maternité ou dans un service hospitalier.

    Elle les pèse, les mesure, les change, fait leur toilette et prépare les biberons. Elle conseille aussi les mères dans les soins les plus courants. Enfin, c'est elle qui assure l'entretien de la chambre de l'enfant et du matériel utilisé.

    Une auxiliaire de puériculture qui travaille en établissement hospitalier est appelée à travailler de jour comme de nuit, et doit assurer des gardes les week-ends et jours fériés. Elle est souvent debout et travaille dans le bruit (pleurs, cris…).

    Quel que soit son lieu d'exercice, l'auxiliaire de puériculture doit faire preuve à la fois de responsabilité et de douceur auprès des enfants. Elle est membre d’une équipe placée sous le contrôle d'un responsable : puéricultrice, éducatrice de jeunes enfants, infirmière…

    Métier d'auxiliaire de puériculture        Manuella EON

     

     

    Etudes : Pour devenir auxiliaire de puériculture, il faut être titulaire du DEAP (diplôme d'État d'auxiliaire de puériculture).

    Pour se présenter au concours, il faut avoir 17 ans minimum à la date d’entrée en formation. Aucun diplôme n'est exigé, mais il faut réussir deux épreuves de sélection (épreuve écrite d'admissibilité + épreuve orale d'admission). Les épreuves portent sur le programme de l'ancien BEP carrières sanitaires et sociales : biologie, nutrition, alimentation

    Métier d'auxiliaire de puériculture        Manuella EON

    http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/auxiliaire-de-puericulture/ 

     

     

     

     

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    Fiche du métier d’ATSEM

    L’agent territorial spécialisé d’école maternelle (ATSEM) est un intervenant qualifié de catégorie C d’une collectivité territoriale, recruté sur concours et titulaire du CAP petite enfance. Il assiste le personnel enseignant pour la réception, l’animation et l’hygiène des très jeunes enfants. Il prépare et met en état de propreté les locaux et le matériel servant directement à ces enfants. Il participe à la communauté éducative.

     

    L’ATSEM est placée sous l’autorité hiérarchique du directeur de l’école pendan

    t le temps scolaire et sous celle du maire en dehors du temps scolaire.

     

     

     

     

    Pour pouvoir passer le concours d’ATSEM, il faut :

     

    être titulaire du CAP Petite enfance ;

     

    pères ou mères ayant élevé au moins trois enfants.

     

    Avoir 16 ans ou plus

     

    Avoir la nationalité française ou celle d’un des autres États membres de la communauté européenne ou d’un autre état partie à l’accord sur l’Espace économique européen

     

    Jouir de vos droits civiques (ne pas être sous le coup d’une condamnation vous empêchant de voter ou de vous présenter à une élection) dans l’État dont vous êtes ressortissant

     

    Ne pas avoir de casier judiciaire incompatible avec la fonction d’ATSEM

     

    Être en situation régulière au regard du service national 

     

    Remplir les conditions physiques requises pour l’exercice de la fonction d’ATSEM

     


    Les missions d’une ATSEM :

     

     Au sein de l’établissement scolaire, les agents spécialisés des écoles maternelles ont pour missions :

     

    • de porter assistance au personnel enseignant pour la réception, l’animation et l’hygiène des très jeunes enfants ;

    • la préparation et la mise en état de propreté des locaux et du matériel servant directement à ces enfants ;

    • de surveiller les très jeunes enfants dans les cantines ;

    • d’exercer, en journée, les mêmes missions dans les accueils de loisirs en dehors du domicile – parental des très jeunes enfants ;

    • d’assister les enseignants dans les classes ou établissements accueillant des enfants handicapés.

     

     

     

    L’agent territorial spécialisé d’école maternelle (ATSEM) est un intervenant qualifié de catégorie C d’une collectivité territoriale, recruté sur concours et titulaire du CAP petite enfance. Il assiste le personnel enseignant pour la réception, l’animation et l’hygiène des très jeunes enfants. Il prépare et met en état de propreté les locaux et le matériel servant directement à ces enfants. Il participe à la communauté éducative.

     

    L’ATSEM est placée sous l’autorité hiérarchique du directeur de l’école pendant le temps scolaire et sous celle du maire en dehors du temps scolaire.

     

    Le Métier d'ATSEM / Déborah Ballard

    CONTRAINTES ORGANISATIONNELES ET RELATIONNELLES

    Nécessité d’être disponible et chaleureux

    Être toujours présent pour les enfants ou les institutrices

     

     

     

     

    http://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/social/agent-territorial-specialise-des-ecoles-maternelles-atsem-1160456

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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