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    Jeudi 15 novembre 2014, Manon Dalibot, Camille Nogues, Morgane blondeau, Mélissa Turmel et moi-même Ophélie Tardif avions donnée rendez-vous, à la ferme pédagogique Le Moulin du Bois, et à un groupe de huit enfants en situation de handicap, de l'institut Handas de Chartres-de-Bretagne.

    Actuellement en dernière année de baccalauréat professionnel services aux personnes et aux territoires à la Maison familiale et rurale de Baulon, nous devions effectuer une action professionnelle pour notre examen. Nous voulions faire découvrir, à des enfants en situation de handicap, un nouvel environnement et développer leurs sensations.

    Huit jeunes et cinq accompagnants ont pu profiter de ce parcours de découverte. Un premier groupe, de quatre enfants, a débuté la visite avec une activité brossage de poney, pendant que le second groupe, de quatre enfants également, s'est rendu à la basse-cour où chacun a pu caresser les lapins, les poules, les chèvres, les pintades. Puis les deux groupes ont échangé leur activité.

    Lors de cette visite, chaque enfant disposait d'une petite plaquette où il pouvait coller tout ce qu'il trouvait (plumes, graines, foin...) pour garder un souvenir de cette visite. Cet après-midi s'est conclu autour d'un goûter gourmand. Des cupcakes pour les accompagnants et des crèmes aux chocolat que nous avions préparer avec du lait de ferme pour les enfants.

    À travers ce projet, nous espérons avoir apporté bien-être et détente aux enfants durant ces activités.

     

     

     

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  • Les hommes dans les métiers de la petite enfance (par Allan Ryo)

    Dans les métiers de la petite enfance il est difficile ou voir impossible de rencontrer des professionnel masculin.
    Les hommes représentent que 2,7% chez les assistant maternel et seulement 1% chez les professionnel en structure d’accueil chez les enfants.
    La première raison de se sous effectif est dut déjà à la peut présence d’hommes voulant s’orienter vers ce métier. Mais il y a aussi les préjugés vis-à-vis des hommes
    Chez les parents c’est tout l’un tout l’autre, soit ils sont pour la présence d’homme auprès de leurs « loulous » d’autre reste méfiant.
    La volonté qu'un homme veut s’engager dans le métier apparait comme suspecte, on pence directement à la pédophilie ou aux attouchements sexuel, se qui causse un gros frein à certain parents de laisser leurs enfants aux mains d’un homme.
    Même la Protection Maternelle et infantile (PMI) ont encore peu de recul sur la question de la masculinité dans la profession.
    Mais la présence de professionnels masculins serrait un gros atout pour la mixité :
    Le simple fait d’avoir un homme dans une équipe en petite enfance, permet au enfants d’avoir une identité masculine dans les locaux. De plus pour les enfants le contact avec un professionnel masculin est différent que celui d’une femme.
    Et sur un point social, la présence d’homme dans ce type de métier favorise la mixité dans les métiers, au même titre que les femmes dans les métiers jugée trop masculin. 

    RYO Allan

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  • Le métier de sage femme

    "Donner la vie"

     

    Sage Femme - Plunian Emma

     

    La sage-femme a pour mission d'accompagner les femmes enceintes tout au long de leur grossesse, de l’établissement du diagnostic jusqu’au jour de l'accouchement. Ce métier difficile demande à la fois des compétences médicales et psychologiques.

     

    Description du métier:


     La profession de sage-femme est une profession médicale spécifique réglementée par le code de la santé publique et le code de déontologie des sages-femmes.
    La sage-femme (ou le maïeuticien, mais les hommes ne représentent que 1% des effectifs) est une spécialiste des grossesses normales. Elle suit les femmes enceintes dont elle a la charge, du diagnostic de la grossesse jusqu'au jour de l'accouchement. Responsable du déroulement de l’accouchement, c'est elle qui pose le diagnostic du début du travail, dont elle suit l’évolution.
    Aidée de technologies de pointe (monitoring, échographies…), la sage-femme assure seule la plupart des accouchements. Si des complications surviennent, elle doit agir très vite pour faire appel au gynécologue-obstétricien ou au chirurgien.

    Après l’accouchement, elle s’occupe du nouveau-né, vérifie qu’il soit en bonne santé et accomplit les gestes de réanimation si nécessaire. Elle surveille aussi le rétablissement de la mère, puis la conseille sur l’allaitement et l’hygiène du bébé.
    La sage-femme peut aussi assurer le suivi gynécologique (prescription de contraceptif, pose de stérilet et implant...).

    L'activité de la sage-femme ne se limite pas à des gestes techniques : elle a aussi un rôle relationnel très important. Elle doit savoir expliquer à la future mère comment vont se dé
    rouler les étapes successives, la rassurer et associer le père à ce moment important.
    Cette profession implique de lourdes responsabilités et des conditions de travail souvent difficiles : horaires irréguliers, gardes de nuit, stress… Une grande résistance à la fatigue physique et nerveuse est donc nécessaire.
    La plupart des sages-femmes travaillent à l'hôpital ou dans une clinique privée. Quelques-unes exercent en libéral, ou dans un centre de PMI (protection maternelle et infantile) ou de planification familiale. Dans ce cas, leur activité se concentre davantage sur la prévention et la pédagogie.

    Études / Formation pour devenir Sage-femme:

    Les études sont de 5 ans après le bac. Pour devenir sage-femme, il faut obtenir le diplôme d’État de sage-femme, qui se prépare en 4 ans dans une école de sages-femmes rattachée à un CHU, après avoir réussi la Paces (première année commune aux études de santé).

    La Paces débouche sur le concours d'entrée très sélectif en école de sages-femmes (de 10 à 15 % de réussite selon les universités). Le nombre de places (numerus clausus) est limité à 1 016 en 2014.
    Après obtention du diplôme d'État de sage-femme, il est possible de préparer un diplôme universitaire. Exemples :

    • diplôme d'université de médecine naturelle : acupuncture, mésothérapie, auriculothérapie, psychopathologie du bébé.
    • diplôme interuniversitaire médecine foetale, échographie gynécologique et obstétrique.
    •  master pro économie et management des systèmes de santé.

     

    Où exercer ?

     

    80 % des sages-femmes exercent à l'hôpital ou en clinique, seulement 16 % en cabinet privé. Un taux faible mais en augmentation progressive (4 % en 10 ans), au contraire des médecins, chirurgiens et pharmaciens qui s'orientent vers plus de salariat. Elles ne sont que 3 % dans la fonction publique territoriale (centres de protection maternelle et infantile). Enfin, ce métier peut s'exercer au sein du Service de santé des armées.

     

     Évolution:

    En cours de carrière, une sage-femme peut accéder à d’autres professions, médicales ou paramédicales, en se présentant à des concours ou par le jeu des équivalences de diplômes.

    Après 3 ans d'exercice, une sage-femme peut passer le concours de cadre de santé (1 an) pour obtenir un poste à responsabilité (gestion, encadrement) dans un établissement de santé.

    Sur concours également, une sage-femme peut enseigner les sciences et techniques médico-sociales en lycée.

    Après quelques années d’exercice, elle peut devenir directrice d'une maison maternelle ou d'un centre de PMI (recrutement sur titres).

    Enfin, une sage-femme peut décider de s'installer en libéral.

    Salaires:

    1 600 € brut par mois (+ primes) pour une sage-femme en début de carrière dans le public.
    Entre 2 700 € et 2 800 € en fin de carrière.

    2 300 € en moyenne pour une sage-femme en libéral.

     

    Témoignages:

    Sidonie, sage-femme libéraleen cabinet à Bagnolet (93)

    "Fait-on ce métier pour les bébés ? Pour moi, c'est bien plus la mère qui est au coeur. Accompagner l'éveil et le parcours d'une femme au cours de la maternité, de l'accouchement.

     

     

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  • Le métier d'ambulancier - MAIGNAN Océane

    L'ambulancier est chargé de transporter malades et blessés vers des centres médicaux. Il conduit des ambulances, où les personnes sont allongées, et des véhicules sanitaires légers (VSL) pour le transport assis. Véritable auxiliaire de santé, il est responsable du confort et de la sécurité du patient qui lui est confié. Il veille à ce que tous les soins nécessaires lui soient apportés pendant le trajet.

    Compétences

    Un bon ambulancier n'est pas seulement un conducteur prudent et rapide ! En contact permanent avec les malades, les personnes blessées ou handicapées, cet auxiliaire de soins doit être disponible, calme, patient et posséder des qualités d'écoute. Il doit savoir rassurer le patient si cela est nécessaire.Sang-froid et réactivité sont très appréciés dans ce métier. Dans toutes les situations, et surtout lorsqu'une vie est en jeu, l'ambulancier doit prendre rapidement, et seul, les bonnes décisions.

    Nature du travail

    L'ambulancier transporte les blessés, les malades, les personnes handicapées ou âgées vers les hôpitaux, les cliniques ou les maisons de retraite. Il doit veiller au confort du passager même s'il conduit à grande vitesse dans une situation d'urgence.Quelle que soit la structure pour laquelle il travaille (Samu, hôpital, ...), l'ambulancier s'informe des consignes auprès des médecins et des infirmières : degré d'urgence du transport à effectuer, type de blessures de la personne à prendre en charge...Il doit aussi connaître l'état du malade. L'ambulancier aide le malade à monter dans l'ambulance, puis il l'installe. Durant le trajet, il veille à son confort et à son état de santé. Il peut intervenir en cas de besoin pour apporter les premiers secours (bouche-à-bouche, massage cardiaque...). L'ambulancier est chargé de l'entretien de son véhicule et de la stérilisation du matériel (lavage, désinfection...). En parallèle, il peut effectuer des tâches administratives : facturation, encaissement... Le véhicule doit être en parfait état.

    Formation pour accéder au métier

    Le diplôme d'État d'ambulancier est indispensable pour exercer la profession. Ce diplôme peut être préparé sans condition de niveau d'étude. Il faut être titulaire du permis de conduire B depuis au moins 3 ans, ainsi que de l'attestation de formation aux gestes et soins d'urgence, niveau 1. Une attestation préfectorale d'aptitude à la conduite d'une ambulance et un certificat médical de vaccinations sont également exigés pour se présenter aux épreuves d'admission dans les établissements qui préparent au diplôme d'État. La sélection s'effectue sur tests et entretien. La formation dure 18 semaines et comporte un stage obligatoire en service ambulancier. Diplôme d'État d'ambulancier. Salaire débutant : SMIC.

     

    Source :

    http://www.jobintree.com/metier/ambulancier-553.html

     
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  • Elle à pour mission principale de dispenser des soins d’hygiène et de confort à la personne, aider l’infirmière à la réalisation des soins, assurer l’entretien de  l’environnement proche de la personne mais aussi la réfection des lits.

    Elle à aussi comme mission de transmettre les observations pour permettre la continuité des soins. Elle est aussi présente pour accompagner et informer l’entourage de la personne mais aussi les stagiaires sur le fonctionnement de la structure. Elle se trouve sous l’autorité de l’infirmière.

    La formation qui dispense cette profession est la suivante : le DEAS (diplôme d’état d’aide-soignante), elle se déroule durant un an dans une école recrutant sur concours. Aucun diplôme n’est requis pour accéder à la formation. Tout te fois la personne doit être en possibilité de présenter un niveau bac ou bac Professionnelle (accompagnement soins et service de la personne).

    Par ailleurs un étudient ayant effectué une première année à L’IFSI (institut de formation en soins infirmiers) est dispensé de l’épreuve écrite. Les compétences requises pour se métier sont les suivantes (soigner, accompagner la personne et prendre soins d’elle).

    Enfin se métier fait partie du secteur paramédical, le salaire au départ et d’environ 1400 euros et en fin de carrière peut atteindre environ 1900 en fin de carrière.

    Pour pouvoir élargir son champs d’activité l’aide soignante peut  aussi passer  le diplôme d’auxiliaire de puériculture et donc d’être en mesure de travailler avec différents public et un mode de fonctionnement différents propre à chaque structure.

     

     

     

     

     

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