Sage-femme

    La nature du travail :

       La profession de sage-femme (le maïeuticien pour les hommes) est une profession médicale. Les sages-femmes travaillent en majorité (83 %) dans un hôpital (public ou privé) ; elles ont aussi la possibilité d'exercer en libéral, de travailler dans les centres de Protection maternelle et infantile (PMI) et dans les centres de Planning familial. Elles peuvent également pratiquer des soins infirmiers mais ce n’est pas leur rôle principal. Leur priorité est d'intervenir dans la surveillance et la prise en charge de la grossesse, de l'accouchement et du suivi du nouveau-né. Elles dispensent les soins nécessaires à la mère et au nouveau-né et conseillent les femmes sur l'allaitement et la contraception. En activité libérale, les sages-femmes pratiquent la rééducation du périnée. Leur statut de profession médicale les autorise la prescription d'une liste de médicaments (nécessaire à l'exercice de leur profession) établie par l'arrêté du ministère de la Santé.

    Les compétences requises pour ce métier :

-  Sens du relationnel

Elle/Il possède un excellent sens relationnel. Sa capacité à établir une relation de confiance avec la patiente est fondamentale. C'est un métier d'aide et de soutien, où la pédagogie mais aussi la  disponibilité sont indispensables.

-  Endurance

Une grande résistance physique et nerveuse est attendue, notamment à cause des horaires variables (gardes, travail de nuit et le week-end)... Les bébés n'arrivent pas toujours aux heures de bureau ! La sage-femme doit pouvoir enchaîner les accouchements même si elle est fatiguée. Sans compter que sa responsabilité est lourde, et le stress jamais loin.

-  Grande stabilité émotionnelle

Si la sage-femme partage des moments forts avec les futurs parents, elle fait parfois face à des situations difficiles : un handicap à annoncer ou des complications de grossesse à gérer. Rassurante, elle doit répondre avec pertinence aux inquiétudes ou aux interrogations des parents. Il arrive même qu'elle soit confrontée à la mort. Savoir prendre du recul est indispensable.

“Donner la vie… Si la sage-femme exerce l’un des plus beaux métiers qui soit, les responsabilités qui pèsent sur elle sont très lourdes”

L’équithérapie

 L’équithérapie est un soin psychique et corporel fondé sur la présence du cheval comme médiateur thérapeutique.

L’objectif de l’équithérapeute concerne la diminution de symptômes psychopathologiques, le bien être, le sentiment de confort.
L’équithérapie n’est pas un traitement direct de maladies somatiques ou de troubles moteurs mais bien une intervention touchant à l’esprit, au moral, à la personnalité.
 

Deux moyens pour mener la thérapie :

-    Psychiques : la parole, le discours, le sens, le partage émotionnel, l’expérience vécue, le transfert, le désir...
-    Corporel : la sensation, le mouvement, la communication verbal avec l’animal, l’expression gestuelle...

Le cheval

          L’intérêt de l’utilisation du cheval s’explique par ses qualités en tant qu’être vivant, relativement simple, doux et chaud, socialement valorisant et adapté, susceptible de porter et de transporter, capable d’accepter les projections, d’intérêt et de soin.
Ces qualités fond du cheval un outil utilisé par un thérapeute, en mesure d’améliorer  une pathologie psychique ou d’un mal-être.

Moniteur Éducateur

 Intégré dans une équipe médico-sociale, le moniteur-éducateur a pour mission de redonner ou de préserver l'autonomie et l'intégration sociale des personnes dont il a la charge.

            Un accompagnement au quotidien qui favorise leur développement et leur épanouissement personnels.

J’ai eu la chance d’effectuer un stage dans une classe ULIS, avec des jeunes aux troubles du comportement ou du caractère. Se stage ma permis d’observer l’importance, de les aider à l’école, car en 14 semaine j’a vue l’évolution importante de certains jeunes se qui favorise l’autonomie, la confiance et l’estime de soi.

Pour pouvoir exercer le métier de moniteur éducateur il faut à la fois :

·         Être patient et ferme.

Le moniteur-éducateur exige une grande disponibilité et un investissement personnel important. Ce professionnel, qui aime les contacts humains, sait se montrer patient, attentionné et  parfois ferme.

·         Prendre sur soi.

Ce travailleur social se distingue par son ouverture d'esprit et un équilibre émotionnel. Face à des situations difficiles, il doit apprendre à se préserver. Un travail sur soi est indispensable pour s'épanouir dans cette profession. Par ailleurs, il possède aussi le sens de l'organisation.

·         Travail en équipe.

 Les métiers Associés à moniteur éducateur sont :

Éducateur spécialisé,
Éducateur technique spécialisé

Où l’exercer ?

Le moniteur-éducateur peut travailler dans le domaine du handicap, de la protection de l'enfance, de la santé et/ou de l'insertion sociale

Secteur privé (associations) ou fonction publique (État ou territoriale).

 Les établissements sont en général spécialisés dans l'accueil des enfants. Centres de soins, de rééducation, foyers de jeunes, instituts médico-pédagogiques... la majorité sont des internats. Cependant, le moniteur éducateur intervient désormais aussi dans des établissements accueillant des personnes âgées, des personnes handicapées vieillissantes et des adultes en difficulté. Il peut également travailler en milieu hospitalier.

Lien onisep: Moniteur éducateur

    Fiche métier "AUXILIAIRE DE PUERICULTURE"

                                                                                   
Quelles sont les principales activités ?

L’auxiliaire de puériculture réalise des activités d’éveil et des soins visant au bien-être, à l’autonomie et au développement de l’enfant. Son rôle s’inscrit dans une approche globale et prend en compte la dimension relationnelle des soins ainsi que la communication avec la famille dans le cadre du soutien à la parentalité. L’auxiliaire de puériculture participe à l’accueil des enfants et à l’intégration sociale d’enfants porteurs de handicap, atteints de maladies chroniques ou en situation de risque d’exclusion.
L’auxiliaire travaille le plus souvent dans une équipe pluri-professionnelle et dans des structures sanitaires ou sociales, en collaboration et sous la responsabilité de l’infirmier ou de la puéricultrice.

Pour quelle rémunération ?

Le salaire mensuel brut d’un auxiliaire de puériculture est d’environ 1 200€ en début de carrière et de 1 700€ en fin de carrière. Le salaire est très variable d’une structure a une autre.
Quelles sont les compétences et qualités nécessaires ?
Avoir le goût du contact et le sens de l’écoute figurent parmi les qualités nécessaires au métier d’auxiliaire de puériculture. Celui-ci doit également savoir travailler et s’organiser au sein d’une équipe pluri-professionnelle. Il participe à la surveillance des enfants et sait discerner le caractère urgent d’une situation de soins pour alerter les personnels soignants.
Participant à l’accompagnement des parents dans leur rôle éducatif, il établit une communication adaptée à l’enfant et son entourage. La maîtrise des protocoles d’entretien des locaux et du matériel est également nécessaire.
Quelle est la formation à suivre ?
Le diplôme d’état d’auxiliaire de puériculture se prépare en 10 mois. La formation, payante, comprenant une formation théorique et des stages pratiques est ouverte aux personnes de 17 ans au moins, sans condition de diplôme.
Intégrer le marché du travail
Évolution par concours
Après 3 ans d'expérience dans le secteur hospitalier ou médico-social, l'auxiliaire de puériculture peut se présenter au concours d'entrée des Ifsi (instituts de formation en soins infirmiers) pour préparer le diplôme d'État d'infirmier. Elle peut également se présenter au concours d'entrée des écoles d'éducateurs de jeunes enfants ou devenir aide-soignante après une formation adaptée.

http://auxiliairedepuericulture.wordpress.com/category/ma-formation/

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• Au démarrage

Les instituts de formation aux soins infirmiers (IFSI) préparent en 3 ans le diplôme d’État d’infirmier.
L’admission se fait sur concours.
Pour se présenter au concours d’entrée, il faut avoir 17 ans et être titulaire d’un baccalauréat (S, ST2S, ES ...) ou d’un titre équivalent. Le concours comprend 2 épreuves écrites et un oral de 30 min. La formation se compose d’enseignements théoriques et de stages cliniques pratiques.
En dernière année, le futur infirmier présente et soutient un mémoire devant un jury. Le DE d'infirmier est reconnu au niveau licence (bac + 3).

• Le métier
  

 À l’hôpital, c’est sans doute l’un des métiers les plus connus. Les infirmiers (et plus souvent les infirmières) sont près de 500.000 en France. Il doit être capable d’apporter son concours à l’élaboration d’un diagnostic. Aux côtés du médecin, l’infirmier réalise toute une batterie de soins et de gestes techniques qui contribuent à la guérison du malade. Il procède aux soins spécifiques et d’hygiène nécessités par l’état de santé du malade : prise de la tension et de la température, pose de pansements, prélèvements sanguins et injections, préparation et distribution des médicaments, préparation du patient pour le bloc opératoire...
Il fait le lien entre le malade et le milieu hospitalier. Il se doit d’être à l’écoute, de rencontrer les familles, d’assurer un accompagnement et un suivi psychologique. Le métier est éprouvant physiquement et psychologiquement.
L’organisation du travail implique une présence permanente auprès des malades. Le travail de nuit et pendant le week-end est une des caractéristiques du métier.

• La spécialité

Chirurgie, cardiologie, maternité… Selon le service auquel il appartient, l’infirmier aura des tâches et un métier bien différent. Dans un service de grands brûlés par exemple, son rôle consiste avant tout à surveiller les fonctions vitales des patients et à effectuer les soins des plaies. Alors qu’en hématologie, son quotidien est davantage fait de prélèvements, de transfusions, d’injections, etc. Après quelques années d’exercice et une spécialisation professionnelle, l’infirmier hospitalier peut exercer des fonctions spécifiques : en bloc opératoire (IBODE, infirmier de bloc opératoire diplômé d’État) ou en réanimation (IADE, infirmier anesthésiste diplômé d’État).

 La fiche métier de la profession

En dehors de l’hôpital, l’armée, l’Éducation nationale, les collectivités territoriales ou encore les organisations non gouvernementales (Croix-Rouge, Médecins du monde, etc.) emploient également du personnel infirmier pour soigner ou mener des actions de prévention. Quant à l’infirmier en libéral, il exerce en cabinet ou directement chez les patients. Quels que soient son statut et son environnement de travail, l’infirmier est là pour rassurer, expliquer, soulager.
Son salaire débutant est de 1 700€.

Le métier d'ATSEM
 

 Agent Territorial Spécialisé des écoles Maternelles

Qu’est ce qu’un ATSEM ?

Les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (ATSEM) sont chargés de l'assistance au personnel enseignant pour la réception, l'animation et l'hygiène des très jeunes enfants ainsi que de la préparation et la mise en état de propreté des locaux et du matériel servant directement à ces enfants.Les agents spécialisés des écoles maternelles participent à la communauté éducative.

La journée d’un(e) ATSEM !

L’ATSEM voit ses journées s’articuler autour de trois fonctions principales (participation à la communauté éducative/ restauration des enfants/entretien et nettoyage des locaux). Par conséquent il est présent de façon continue auprès des enfants et du personnel enseignant.
 

Activités scolaires et éducatives : le matin, ces activités ont lieu sous l’égide de l’Education Nationale auxquelles les ATSEM apportent un soutien matériel et leur participation ; les activités scolaires de l’après midi ont lieu sous la responsabilité de l’enseignant.
 

• La sieste : l’ATSEM assiste l’enseignant dans sa mise en œuvre (aider les enfants à se déshabiller et à se coucher, etc.)
• L’accueil est tout au long de la journée qui est assuré par l’enseignant, mais l’ATSEM peut être amené à assister
• Garderie : assurée du matin jusqu’au soir.                         

                                                                                                                           Voici les concours. 

 

Fiche infos ici

Document sur le métier d'atsem

Présentation du métier d'Auxiliaire de Puériculture

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Les rôles d'Auxiliaire de Puériculture :

Un/une auxiliaire de puériculture s’occupent de nouveaux nés, de jeunes enfants jusqu’à 18 ans. On retrouve ce métier dans plusieurs domaines, voici leur rôle selon leur lieu de travail :

• En halte-garderie, en multi-accueil ou en crèche collective : elle est responsable d'un groupe d'enfants, âgés de 2 mois 1/2 à 3 ans/4ans. Elle doit veiller au sommeil, à l'hygiène corporelle et environnementale, à l'équilibre des repas, elle apprend aux enfants à devenir autonomes (repas, marche, propreté), pour les plus petits elle prépare les biberons, conseille les parents lors de la diversification, accompagne les bébés dans leurs découvertes corporelles, valorise les sens, organise aussi des activités d'éveil.

• En maternité : elle aide la sage-femme lors de la mise au monde du bébé si elle travaille en salle d’accouchement. Dans le service suite de couche, elle accompagne les jeunes parents dans leur nouveau rôle. Elle participe au bain des nouveau-nés et à leur alimentation (biberon, mise au sein).

• En pédiatrie : l’auxiliaire de puériculture veille à l’hygiène et au confort de l’enfant (toilette/douche, prise de température, distribution des repas, travaille en collaboration avec l’infirmière ou la puéricultrice lors des soins (prise de sang, perfusion…), rassure l’enfant et son entourage, participe à des activités d’éveil.

• En PMI : elle assure le suivi des consultations avec le médecin/pédiatre, pèse et mesure l’enfant, met à jour les dossiers administratifs.

• En IME : elle intervient auprès d’enfants en situation de handicap physique ou mental, veille à leur bien-être, leur hygiène, leur confort. Participe également aux repas, aux activités d’éveil.

• En centre maternel : l’auxiliaire de puériculture travaille auprès de familles monoparentales en difficulté, voire sous mesure de justice.

• En pouponnière : elle intervient auprès d’enfants placés soit sur décision de justice afin de les protéger de leur environnement, soit sur demande de parents en grandes difficultés passagères, auprès des enfants nés sous X en attendant le processus d'adoption, et des enfants handicapés en nombre restreints. Elle veille à la sécurité, à son bien-être et son confort. Elle participe à toutes les tâches de la vie quotidienne de l’enfant, de son lever à son coucher avec un relationnel privilégié.

Fiche métier : http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/auxiliaire-de-puericulture/